arnaque

Une émission très intéressante a été diffusée Mercredi 4 janvier 2012 sur France 3, "Pièces à conviction". On y apprend que l'on peut être juge et parti dans le marché de l'art, que l'on peut berner l'état Français, flouer les héritiers lors de nombreuses successions et accessoirement sa femme en lui faisant croire que son pratrimoine n'était que de 42 millions d'euros alors qu'il serait estimé en réalité entre 1 et 10 milliards d'euros! Une idée sur les acteurs ? Il suffit de s'appeler Wildenstein. Pour revoir ce reportage étonnant c'est par ici: http://www.pluzz.fr/pieces-a-conviction-2012-01-04-22h50.html  

On y trouve quand même des idées pour devenir riche sans être malhonnête comme de trouver un tableau de maître encore non répertorié et de le faire inventorier par Mr Wildenstein, il voit alors son prix flamber ! Ou bien encore de découvrir un artiste inconnu en espérant qu'il devienne célébre. D'autant plus que les tableaux se vendent et se cachent plus facilement qu'un hôtel particulier, que les plus values peuvent être conséquentes surtout quand celles-ci sont non-imposables après 10 ans ! Pas étonnant que le marché de l'art se porte très bien en ces temps dits de crise.

Une enquête très détaillée nous apprend que certains constructeurs automobiles sont prêts à vous faire payer leurs défauts de conception. L'enquête et tous les détails pour ne pas vous faire avoir figure ici.

Parce que s'enrichir, c'est déjà ne pas se faire avoir, les Français pourront dénoncer, en plus des SMS indésirables le spam vocal au 33 700. Le spam vocal, c'est cette forme d'arnaque qui s'est développée ces dernières années sur les réseaux de téléphonie mobile qui consiste à appeler une victime sur son mobile, à faire sonner son combiné une ou deux fois, puis à raccrocher. Intrigué, le destinataire tente de rappeler ce mystérieux interlocuteur. Il tombe alors dans le piège : il s'agit en fait d'un numéro surtaxé qui ne renvoie généralement sur aucun service. Pour les signaler, envoyez un SMS au 33 700, indiquant la mention « spam vocal » suivie du numéro de téléphone en cause. Les opérateurs mobiles prendront alors le relais pour stopper les services des éditeurs indélicats et transmettre aux autorités les noms des plus actifs.