Pour Philippe Germond, le PMU, c'est la dèche !

Le nouveau président du PMU n'aime pas les chevaux ! et il a raison: son salaire de 30.000 euros par mois, c'est 5 fois moins que lors de son passage chez Atos où il avait empoché 1,6 million d'euros en dix mois et demi de travail. Heureusement qu'après la débâcle de Vivendi, en 2002, l'ancien bras droit de Messier a empoché un chèque de départ de 3,1 millions d'euros. Ses deux ans et demi comme directeur général d'Alcatel lui ont rapporté exactement autant d'indemnités. Qui a dit travailler plus pour gagner plus ?